17 : Mercredi 25 décembre 2019

Les évènements se précipitent. Ils se passe tous les jours quelque chose. J'ai encore tenté de leur parler. Pour dire de ne pas m'affubler de cornes de renne. 

                               

                               Mais, ou je me suis mal exprimé, ou ils sont encore restés sourds. 
                                                             Voilà le déplorable résultat.
                                                 Excusez-moi si je ne souris pas sur la photo

                                  

                          Bis repetita non me placent,...  Déjà la première fois, j'avais horreur, mais alors  là !
                                                   Ici non plus, je n'avais pas le coeur à  rire.

Après, pour décompresser, avec ma nièce Céline et Lionel, un bon gars qui se balade toujours avec un appareil photo, on est allé se promener autour d'un étang. 
C'est un lieu tout à fait tranquille, avec des arbres des iles, des rochers............. et des canards. 

                                 

Ce qui m'a perturbé, ce sont les canards. En période de Noël, tout le monde aime manger du canard. Je me suis jeté à l'eau pour en récolter quelques uns pour les fêtes. C'est moi le point noir sur la photo

Mais si les canards ça nage  (pas mieux que moi), ça vole aussi (et mieux que moi)

                             

Total, je n'en ai pas eu un seul. Alors, j'ai pensé à Poulidor, mon idole (car son nom commence par Poule - le côté comestible- et finit par Dort - le côté coussin) Je me suis dit : ils vont plus vite que moi, certes, mais je les aurai à l'endurance ! Je suis resté (Céline et Lionel témoins) plus d'une demi-heure à les pourchasser dans l'étang glacé. Walou ! Même pas une plume. J'ai failli en avoir un mais il s'est envolé, comme le montre ce triste cliché

Tout autour de l'étang des gens se sont attroupés. Les uns imitaient le cris du canard, pensant m'attirer. Pitoyable astuce de chasseurs qui ne trompe personne : je ne travaille pas pour l'appeau ! Les autres l'aboiement du chien j'ai bien vu que ce n'étaient que pâles imitations. Au bout donc d'une demi-heure, j'ai accepté, sous les vivats de la foule, de remonter sur la berge. Je me suis ébroué sur mes admirateurs qui se sont dispersés.

Finalement, les canards ont gagné. Ils sont arrivés premiers. A cause de Poulidor, je suis arrivé second dans la chasse aux canards.

                     A Ouaouh 


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